Quiz
À quoi ça sert la graphologie ? 
C’est un outil d’aide à la décision, à l’orientation, à l’embauche, à la connaissance de soi, au recrutement…
Quels pays l’utilisent ? 
France, Italie, Espagne, Belgique, Allemagne, Suisse, Canada.
C’est encore à la mode ? 
Tant que l’écriture existe, la graphologie continue d’exister en se transformant en même temps que la société.
Qui écrit ? 
La grande majorité des gens, dès l’apprentissage scolaire, dans toutes les civilisations.
À quel âge peut-on faire une graphologie ? 
À partir du moment où l’écriture se stabilise, vers 15/16 ans mais on peut travailler sur des écritures d’enfants.
Quelle est l’influence de l’informatique ? 
On écrit moins, mais on écrit toujours, l’écriture est modifiée par les événements, le progrès.
Gaucher/droitier ? 
Il est important de connaître la main directrice, l’œil directeur. Cela influe sur l’appréciation.
Bic ? Stylo ? Feutre ? 
Le stylo à plume reste l’instrument le plus intéressant, le bic apporte aussi des informations précieuses, le feutre uniformise et enlève de la subtilité.
Une écriture peut-elle être laide ? belle ? 
Pas de critères esthétiques dans l’approche graphologique, en principe.
Graphologie, science exacte ? 
Non, pas plus que ne l’est la nature humaine, jamais pareille, toujours en mouvement et en transformation.
Degré de fiabilité ? 
Certains parlent de plus de 80% de fiabilité. Cela reste assez relatif, même si la fiabilité est très significative.
Peut-on tout voir ? 
Non! Ni le sexe, ni l’âge, ni certaines maladies ou psychoses, ni la couleur de la peau… entre autres.
Combien ça coûte ? 
Entre 50 € (petite étude synthétique) et 500 €, voire plus de 3000 € pour une analyse graphométrique.
L’écriture change ? 
L’écriture, vivante, est influencée par la vie et les circonstances, jusqu’à la vieillesse.
La signature est importante ? 
C’est un logo qui porte l’image de soi, les ambitions, les projets, les rêves, les envies, l’assurance, sa marque de fabrique exclusive et personnelle.
Peut-on étudier des écritures étrangères ? 
Oui, si le modèle d’apprentissage est connu et comparable avec notre modèle scolaire.